"Nous sommes enfin de retour à la Faculté où l'on mattend avec le verdict. En entrant dans la salle, je le sais, je le sens Je retrouve ma brave Tékila. Je la prends aussitôt dans mes bras. Madame Veilleux, Tékila a une masse cancéreuse à la rate, et le foi est aussi atteint. Il me semble que je n'arrive plus à respirer. Mes yeux se remplissent de larmes. Je quitte la clinique en ce dimanche soir, 7 mais 2000, le harnais toujours à ma main gauche, mais il est vide. Jamais plus Tékila n'y introduira sa tête.